Comptes à rebours

Décembre…
Les journées plus courtes (beaucoup trop courtes), l’hiver…
Les fêtes et leur pression sociale, la fin de l’année..
L’heure des bilans, la réflexion des futures résolutions…


Je ne fais pas parti des gens qui croient en la magie de noël, je ne suis pas de ces gens qui aiment les fêtes. En ce qui me concerne, je pense simplement que c’est une période hyper commerciale ou pour se rassurer, tout le monde aime se complaire dans l’hypocrisie.

Aujourd’hui, je suis capable de dire finalement toutes les périodes de l’année où j’ai des gros coup de pression, les périodes ou les crise de panique sont plus présentes…
– Le mois de Janvier: jours trop court, temps trop froid, début d’année
– Une quinzaine de jours en avril: comme je l’ai déjà expliqué, c’est lié au décès de mon père.
– Une quinzaine de jour en mai : Mon anniversaire…
– Une quinzaine de jour en octobre: l’anniversaire de mon père
– Le mois de Décembre pour toutes les raison cités plus haut.

Je travaille toujours sur mes angoisses, et même si je progresse, je ne peux nier leur présence. Et en cette période elles sont particulièrement présentes non seulement parce que je sais qu’il y en a pour 2 mois, mais surtout parce que je sais tout ce qu’il se passe pendant ces 2 mois.

Où j’en suis? Depuis quelques mois, j’ai changé de boulot, je suis de nouveau dans une formation, une nouvelle boite bien sympa, mais beaucoup de route à faire chaque jour, un nouveau rythme à prendre, du sommeil en retard, du stress en plus… “Oh Oh Oh, Merry Christmas”… et on rajoute l’ambiance de fin d’année, le stress des gens, les plaintes, les manifestations, les râles… L’esprit de noël avez vous dit?! Et puis la météo, la grisaille, le froid, les catastrophe ici ou là…

Mon psy à pris sa retraite, ma sophrologue m’a dit que je n’avais pu besoin d’elle… Alors je me suis demandé, “Comment qu’on fait?!” Je me suis décidé à m’inscrire à une salle de sport, et je suis le premier étonné en vous disant que depuis Avril j’arrive a tenir le rythme, bon une simple séance, mais mon ambition est de me soulager du stress et non pas de devenir “Trop Muské!”, je compte cependant augmenter le rythme… si je trouve le temps… (Mais quand on veut, on peut).

Bref, tout ça pour dire que lors de ces séances de sport, je me suis rendu compte d’une chose. A chaque séance, lors d’exercice chronométré, j’ai toujours une poussée d’angoisse au moment d’atteindre un objectif (temps ou distance). C’est plutôt curieux comme fonctionnement et pourtant, quand j’y pense, ça ne rate jamais. C’est rarement les effort à faire qui m’angoisse mais leur échéance… La peur de flancher avant la fin, la peur d’abandonner si prêt du but, l’angoisse d’un mauvais événement si proche de cette échéance. une petite colline me paraît être une montagne… Je suis tellement habitué a ces angoisses que rien que le fait de savoir qu’elles vont arriver, les entraîne… le serpent qui se mord la queue!

C’est une chose sur laquelle je travaille, à laquelle je réfléchi… J’arrive au fur et à mesure à cibler mon propre fonctionnement, peut être qu’un jour je le comprendrai!

Bonnes fêtes de fin d’année à ceux qui y accordent de l’importance!

Pour marque-pages : Permaliens.

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